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LALY ☮ next time I'll be braver, I'll be my own savior

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O. Eulalie McAnders

O. Eulalie McAnders
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LALY ☮ next time I'll be braver, I'll be my own savior Vide
MessageSujet: LALY ☮ next time I'll be braver, I'll be my own savior LALY ☮ next time I'll be braver, I'll be my own savior EmptyVen 11 Nov - 14:52




opale eulalie mcanders



© aurelie feat. crystal reed


NOM(S) McAnders (nom adoptif)PRÉNOM(S) Opale, Eulalie ÂGE 18 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE Née à newport le 30 janviers. ORIGINE(S) étasuniennes, et inconnues. NATIONALITÉ étasunienne. MÉTIER/ÉTUDE lycéenne. STATUT célibataire. GROUPE the creeps.
superficielle ; hautaine ; froide ; sociable ; soignée ; ouverte ; sensible ; fausse... Le genre de fille qu'on adore détester, qu'on trouve belle, classe, qui se la pète, et a qui tout semble sourire. Mais sous cette carapace de pétasse se trouve une pauvre fille pas courageuse pour deux sous qui ne s'aime pas et ne se sent pas bien dans sa peau.

© tumblr


The real part of myself.
Les cris, la pauvreté, le lit dur, le sol froid, l'absence maternelle, la solidarité fraternelle, le bonheur dans la misère... Tout ça c'était avant. Il y a beaucoup de gens qui rêvent de pouvoir changer de vie du jour au lendemain, comme ça, tout laisser derrière soi et recommencer quelque chose de mieux, de plus grand, de plus beau, de plus riche, de plus classe, de plus envié, de plus facile. Et moi, j'ai pu le faire. Mais tout le monde ne comprend pas. Ils veulent que je me rappelle de qui j'étais, d'où viens, de ce que j'ai vécu. Mais moi, je ne peux pas. Il y a ce monde d'incompréhension entre eux et moi qui me fend le coeur. Mais je fais avec, je me redresse et me dit qu'il y a pire. J'aurais pu ne jamais me faire adopter, par exemple. Je ne me souviens pas de ce qu'il y avait avant. Ma famille, maintenant, c'est ces deux bourges qui m'ont recueillis quand j'avais sept ans. Vous voulez que je vous dise ? Les liens du sang, c'est des conneries. Ce qui compte, c'est ce qu'on devient, ceux qui nous élèvent et subviennent a nos besoins. Mes parents n'ont jamais eu trop de mal à me gâter, avec la tonne de tune qu'ils ont. Ce qui n'était pas le cas de ma vraie mère, une femme des bas fonds qui vendait son corps pour nous élever. Pas très sain, n'est-ce pas ? C'est de ça que mon frère et mes soeurs veulent que je me souvienne. Parce que cette femme nous a soi-disant aimé plus que quiconque ne nous aimera, pas même un couple stérile n'ayant besoin que d'un enfant pour être comblés. Alors, c'est pour ça qu'elle est partie comme ça, en nous livrant aux services sociaux ? Quelque part, c'est vrai que derrière les cadeaux à tout va ; y'a pas grand chose, chez les McAnders. Ils sont jamais là, ou jamais là pour moi. Il ont jamais le temps alors qu'ils travaillent beaucoup moins que ma vraie mère... Enfin, je crois. J'ai oublié, comme je ne cesse de le répéter. Mais ma famille de sang - si je puis dire - ne comprend pas que j'étais trop petite. Ils ne comprennent pas non plus que j'ai changé, que je ne suis plus cette petite fille a protéger ; que leur Laly n'est plus Opale puisqu'Opale est morte a tout juste sept ans ; mais qu'Eulalie est une fille tout autre, beaucoup plus monstrueuse.


Je ris comme une débile, alors qu'il n'y a rien de drôle. Je suis allongée quelque part entre le rêve et l'irréel, et tout ce que je vois, c'est deux potes qui se battent parce que l'un d'eux a roulé une pelle à la nana de l'autre, qui pleure comme une conne à côté. Et moi, ça me fait rire. Elle les supplie d'arrêter, elle dit qu'elle est désolée et qu'elle voulait pas, elle hésite, elle ose pas dire qu'elle en aime un et pas l'autre parce que forcément l'autre le prendra mal. J'ai bu, bien sur, parce que je bois toujours comme un trou dans n'importe quelles soirées ; et je fais baiser par n'importe quel clochard qui passe et qui prend son pied pendant que je suis trop inconsciente pour me rappeler de quoi que ce soit le lendemain. Je n'ai que des images, des souvenirs flous de visages. La plupart du temps, mes potes veillent sur moi. Ceux qui tiennent vraiment à moi ; ou ceux qui veulent passer la nuit avec moi. J'ai arrêté d'avoir des petits amis pour éviter les situations dans laquelle se trouve la fille, que je connais, d'ailleurs, et qui me regarde de travers, tandis que je ris de sa misère. Pauvre conne, je pense en finissant par fixer mon regard. Et puis l'un des mecs tombe a terre, se fait plus ou moins tabasser par l'autre, et elle hurle. Je grogne : les hurlements, quand on est complètement arrachés, c'est pas le top. Quand je regarde de nouveau la scène, j'ai une impression de déjà-vu qui me fais de nouveau rire, un peu jaune je l'avoue ; sans que je sache pourquoi. Je dois avoir des problèmes avec ma mémoire. Et puis, tandis que l'un des gars se traîne sur le sol, l'autre - le petit ami originel de la nana - se rapproche d'elle et lui serre la gorge en la plaquant contre le mur, la soulevant du sol. Et tout d'un coup, elle se dédouble et disparaît. Ces doigts enserrent ma gorge, mes pieds ne touchent plus terre, tandis qu'a côté, quelqu'un implore, supplie et est prête a tout pour me garder sauve. « maman... » , je murmure, avant de regarder de nouveau la scène. Ma vision a disparu. Mais pas mon passé. Après avoir été menacée par un des clients de ma mère, ils m'ont appris a me battre. Ma tête bourdonne trop pour que je me rappelle de "ils". Et je ne comprends plus ce qu'il se passe. J'étais allongée sur le sol, riant sadiquement de cette pauvre conne qui ne sait pas tromper sans se faire choper ; et me voilà en train de maîtriser son petit ami qui essayait de lui faire du mal et qui avait déjà rétamé un mec. Je ne sais pas comment, mais il finit au sol, avec un craquement sec et un grognement de douleur. Et moi, je suis debout, entre lui et sa copine.
Et je ne ris plus du tout.

« Il paraît qu'elle a défoncé un mec en étant bourrée ; et qu'elle arrêtait pas de se foutre de sa gueule, avant... » « Ah ouais ? Moi j'ai entendu dire qu'elle avait battu un des mecs de l'équipe à la course alors qu'elle était en hauts talons... » J'avance dans les couloirs, la tête haute, faisant la sourde oreille à ces rumeurs bizarres, toujours inspiré de faits réels mais détournés. Je m'en fiche pas mal. J'aime bien, qu'on parle de moi. J'aperçois un de mes souffres douleurs au coin d'un couloir, pas n'importe lequel : ma préférée. Une petite intello sans style, avec des lunettes trop grandes pour elle et un look tout droit sorti d'une poubelle. Trop tard, elle m'a vue et s'esquive aussi rapidement que possible ; ce qui me procure une entière satisfaction. « Alors, Laly la terreur, tu bouffes tout cru des mecs trois fois plus balèzes que toi, maintenant ?! » Elle se met a marcher a ma hauteur, avec la même attitude hautaine que moi. J'hausse un sourcil et la regarde. « T'étais passée où, toi ? » Elle fait une petite moue et baisse la voix. « bad trip. » je grimace, l'épiant discrètement pour voir si elle va bien. « Ah, dur... ça va ? » elle hoche la tête et déglutit ; signe que ça va pas tant que ça. Mais on est au lycée, et des gens peuvent nous entendre. Elle, ça fait des mois qu'elle essaie de se défaire de la drogue. Mais elle y arrive pas. Question de volonté, peut-être. Elle, c'est ma meilleure amie, et elle n'en a parlé qu'a moi. Et moi, j'essaie même pas de l'aider. Pourquoi ? Je le sais même pas. Je la rassurerais tout à l'heure en la prenant dans mes bras, lui faisant des bisous dans le cou. Une autre rumeur qui court, d'ailleurs, c'est qu'on sortirait ensemble. Je crois que c'est la plus drôle. Premièrement, je suis purement hétéro. Deuxièmement, elle a beau être ma meilleure amie, il y a plusieurs choses qu'elle ne sait pas à propos de moi. Troisièmement, on a le même caractère, et c'est pour ça qu'on s'entend aussi bien. Quatrièmement, on ne se fait ce genre d'attention qu'en public. Cinquièmement, on aime être au centre de l'attention, et ça ne fait qu'attiser les ragots, ce qui est bon pour nous.


ça fait quoi, cinq-six minutes qu'on est allongés là, côte à côte, sans rien dire ? Dix ? Trente ? Une heure ? Un long silence s'est installé entre nous, loin de l'euphorie qu'ils décrivent dans les romans d'amour auxquels je me drogue chaque soir de solitude saine. Quand je ne suis pas une loque larmoyante, quoi. Il pousse un soupir, comme s'il sortait de sa transe, et tourne la tête pour me regarder. Je fais de même, plongeant mes yeux dans l'océan pur qui colore les siens. Il est beau ; je me dis. Et c'est la première fois que je le perçois comme ça. Pas juste beau physiquement, beau intérieurement. Le genre de mec qui n'a rien a faire ici, dans le lit d'une fille de pute qui prétend avoir oublié son passé par facilité. T'es trop beau pour être ici ; je pense super fort, parce que j'ai pas envie de le prononcer. Dans la vie d'apparence que je me suis forgée, c'est moi la fille qui est trop belle pour lui. Lui, il est pas populaire, il se fou des apparences et préfère être amis avec des cas soc' plutôt que d'avoir des vrais faux amis a usage multiple et qui sont loin d'être unique, malgré ce qu'on leur dit. Comme s'il m'avait entendu, il fronce légèrement les sourcils. « Quoi ? » Je me redresse, un peu trop brusquement, ce qui me déclenche un mal de crâne pas possible. « Comment on en est arrivés là ? » ; je demande d'une voix pâteuse et fatiguée. Il fixe le plafond. Il a toujours été distant, et je n'arrive pas a voir sur son visage si il regrette ce qu'il s'est passé. Je sais qu'il a aimé ça, et moi aussi. Mais peut-être qu'il se dit que c'était une erreur et que ça se reproduira plus. Je me rend compte que c'est la meilleure chose a faire, en fait. « On a bu. »
J'hoche la tête, un peu sonnée. Bien sur qu'on a bu.
J'étais bourrée et désespérée quand je l'ai appelé pour la première fois. J'avais totalement oublié que son numéro était roulé en boule au fond de ma poche. J'avais envie d'appeler quelqu'un, de dégueuler ma mauvaise conscience et de me nettoyer l'âme en noircissant quelqu'un d'autre. Je l'ai appelé, lui ; lui que j'insultais dans les couloirs par pure peur qu'il ne dévoile qui j'étais vraiment. Bien sur j'aurais tout nié, mais ça me faisait plaisir qu'il en chie parce qu'il avait vu quelque chose qu'il n'aurait jamais dû voir. En fait, je n'avais rien contre lui, a part le fait qu'il me faisait sentir futile et laide. Il n'a jamais rien dit. Des fois, il sourit face a mes insultes. Maintenant, c'est plus un jeu. Je ne me suis jamais confiée a lui.
Quand je l'ai appelé pour la première fois, j'étais totalement bourrée et je n'avais aucune conscience de ce que je faisais. J'avais juste envie de rentrer chez moi, de quitter cette fête qui ne m'intéressait plus puisque mon frère venait de m'appeler pour me dire que mon père adoptif était peut-être mon père biologique et que ça me rendait malade. Alors j'ai pris mon portable et le premier numéro qui me tombait sous la main, lui demandant de venir me chercher. Je ne voulais pas rentrer chez moi, ni retourner à cette fête. Et lui, il est venu, l'abruti. Quand il a vu dans quel état j'étais, il m'a amené chez lui. Une maison charmante, je me dis, encore aujourd'hui en regardant la petite fenêtre de sa petite chambre. Il m'a allongée sur son lit, et il a même pas cherché a profiter de moi. Je sais plus pourquoi, mais j'ai parlé de mon frère. Il a compris que j'avais été adoptée, et il m'a demandé en quoi il pouvait m'aider. Alors j'ai essayé de l'embrasser, et il m'a repoussée.
« On a tout le temps bu, de toutes façons. » je marmonne. Il émet un petit rire, et je tourne la tête vers lui. « ça veut dire qu'on oublie tout et qu'on fait comme si rien ne s'était passé ? » et il aurait jamais du dire ça. Mais il sait pas, lui, a quel point ça me fait désespérément plaisir qu'il me dise ça, comme si a lui ça lui faisait quelque chose qu'on ait couché ensemble, comme si ça lui avait plus et qu'il voulait qu'on aille plus loin. J'hausse les épaules, frissonnant sans trop savoir pourquoi. « T'as aimé ? » Je me tourne vers lui. Il me regarde fixement. « Bien sur, et toi aussi. Seulement, c'est pas possible pour toi que tu sortes avec un " freak" comme moi, n'est-ce pas ? » Je le regarde un instant, avant de me pencher vers lui et de l'embrasser comme si ma vie en dépendait. Je ne sais pas pourquoi, mais ce mec a le dont de déclencher mes pulsions, depuis le premier jour où je me suis accrochée à lui. Il me rend mon baiser et m'attire encore plus près de lui, jusqu'a ce que nos corps se retrouvent de nouveaux collés. Je finis par m'écarter de lui pour le regarder dans les yeux. « ce que je veux, c'est ça, aussi souvent que possible. Mais non, jamais je ne m'afficherais avec toi. » Même si j'en ai besoin. Plus tard, peut-être. Mais toi et moi ensemble, ça veut dire trop de trucs et j'ai pas envie d'y penser. C'est déjà trop le bordel dans ma tête.



« Bonjour, ça serait pour faire un test de paternité. » La femme lève les yeux sur moi, me détaille et son sourire poli disparaît. Je sais ce que cette pauvre conne pense. Elle pense que je suis une gosse de riche en crise qu'a rien d'autre a foutre que d'insulter ses parents jour et nuit, de claquer la porte à grands coups et a gueuler "si ça se trouve t'es même pas mon père" parce que papa a refusé d'acheter le dernier gadget que tout le monde s'arrache. « Désolée, il faut que la requête vienne du père. » Je regarde autour de moi, effrayée à l'idée que quelqu'un du lycée me surprenne ici et apprenne que j'ai été adoptée. Je ne sais même pas pourquoi je cache ça, en fait. Peut-être parce que je ne pourrais pas indéfiniment avoir oublié mon passé et prétendre ne plus savoir pourquoi je n'ai plus de famille. « Ah, oui, mais le problème, c'est qu'il ne le fera jamais, en fait. C'est... un peu délicat, mais j'ai été adoptée, et je soupçonne des gens d'être mon père, alors... Eux doivent surement le savoir, si je suis leur fille, et du coup, j'aimerais savoir, mais c'est a pur titre informatif. Enfin, si ils n'ont pas voulu de moi, je ne vais pas aller chialer dans leurs chaussettes pour les supplier de m'aimer, vous voyez ? Ma famille est très bien comme elle est. » Surprise, elle me regarde avec des yeux ronds pendant trente bonnes secondes. Puis, elle cligne des yeux plusieurs fois, et sort un formulaire, que je m'empresse de remplir. Résultats communiqués à : Eulalie McAnders uniquement. « On va devoir prendre votre ADN, mais c'est pas sur que les gens que vous cherchez soient enregistrés dans la banque de données. » J'hausse les épaules. « On verra. Au pire, c'est pas trop grave. » Nom du prétendu père : Richard McAnders. « Du coup, c'est pas pressé du tout ? » nom de l'enfant présumé : Opale Ainsworth/Eulalie McAnders. « Enfin, j'aimerais quand même l'avoir sous les deux mois. » Je lui souris de nouveau, et elle me répond timidement. Je signe en bas de la page, lui rend le formulaire, lui souris de nouveau. « Merci beaucoup, a bientôt, j'espère. » Et je tourne les talons sitôt lui avoir rendu les feuilles. Je n'ai pas envie qu'elle me pose des questions. "Pourquoi vous vous appelez McAnders, comme votre père soupçonné ?". Et une fois que je lui ai tourné le dos, je ne souris plus.
Mes talons résonnent sur le sol, tandis que je marche, la tête haute comme a chaque fois que quelque chose me dérange. Un fois sortie, je continue d’accélérer, ne tenant pas compte de ce qui m'entoure. « Laly. » Je frissonne, comme a chaque fois que j'entends sa voix. Partagée entre la joie de l'avoir de nouveau près de moi et la peur de revivre l'horreur du passé, je me renferme sur moi-même, plus proche de la gamine pleurnicheuse qu'il a toujours connu que de la grosse conne que les autres connaissent. « C'est bon, c'est fait. » , je dis, beaucoup plus sèchement que je ne l'aurais voulu, et avec un tremblement incontrôlé dans ma voix. Il pose sa main sur mon bras, m'obligeant à ralentir l'allure, et je me tourne vers lui. J'ai l'impression que je plante mon regard dans mes propres yeux. « T'étais pas obligée. » Je ris jaune et m'arrête brusquement, nerveuse et soudainement au bord des larmes. « Pas obligée ?! Mais regarde-toi, bordel ! Avec tout vos "t'as pas envie de savoir, franchement ?" "c'est tellement probable, Opale..." Ouais, Opale par-ci, Opale par-là, J'en ai MARRE de cette pute, bordel ! C'est Eulalie, maintenant. Pourquoi tu cherches tant a me rappeler que t'es que mon demi-frère, hein ? J'étais pas obligée, bien sur que non ! Vous pouvez pas me forcer a faire quoi que soit, jamais ! Mais regarde toi, putain, c'est ça ou être harcelée à vie par vous ! » Il me regarde de cet air sévère qui ne lui va pas, et qui n'a jamais eu d'effet sur moi que lorsque c'est notre ainée qui me regarde comme ça. « Quoi que tu dises, Laly, je serais toujours plus ton frère que tout les petits bâtards que ton père - qui que ce soit - a engendré. Tu l'as oublié, ça aussi ? Moi, j'ai pas oublié la tête de ton père adoptif. C'en était un, bon sang, tu le sais aussi bien moi ! T'as même pas paru surprise quand je t'ai dit qu'il était un des anciens clients de maman - notre MÈRE, t'entends, la seule et unique, qui nous a tout donné. On t'aime bordel, et toi aussi tu nous aimes. Moi, quand tu dis que tu te rappelles plus, j'te crois pas. » ça y est, une larme a coulé. J'hause les épaules et lui tourne le dos, ne voulant pas de sa pitié. « Eh bah fais pas confiance a ta petite soeur et crois c'que tu veux ; si t'es tant attaché que ça à la famille. » « Laly... » Il soupire, mais n'ajoute de rien, parce que, l'un comme l'autre, on sait qu'il a raison.

Tu as quoi à dire de plus ?:

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